BUDGET DU CROUS – 2016
Ce matin, en CA du
CROUS Caen, c’était le vote du budget.Malgré tout, le budget est quand même passé avec 12 voix pour, 11 voix contre et 3 Abstentions. Mais ce n’est pas fini, nous allons continuer d’interpeller l’opinion publique et continuer de nous battre pour que les étudiants et les personnels n’aient pas constamment à subir les désengagements de l’État dans le budget de l’Enseignement Supérieur.Retrouvez ci-dessous la motion déposée :
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Les écoles de masseurs-kinésithérapeutes, quel avenir dans la nouvelle région Normandie ?
Alors que se profile à l’horizon 2016 la fusion de la Haute et Basse Normandie, les étudiants en kinésithérapie de l’Institut de Formation Régional en Santé (IFRES) d’Alençon profitent de cette opportunité pour faire entendre leur voix et attirer l’attention sur leurs conditions d’études.
Leurs frais d’inscriptions sont en effet les plus élevés de Normandie, s’élevant à hauteur de 5800€ par an. De plus, la récente mise en application de la réforme du diplôme d’Etat de masseur-kinésithérapeute présente certes des avancées pour la formation, mais elle fait passer le nombre d’année d’études de 3 à 4 ans. Elle multiplie donc d’autant le coût. En comparaison, les étudiants Haut-Normands payent des frais allant de 200€ (Rouen) à 4500€ (Evreux) par an. Cette situation n’est plus tenable pour bon nombre d’étudiants, obligés de s’endetter de manière importante afin de financer leurs études !
La Table Amicale des Étudiants Kinés et Ergos d’Alençon (TAEEKA), association membre de la Fédération Campus Basse Normandie (FCBN) et qui représente les étudiants de l’IFRES d’Alençon, a ainsi décidé d’interpeller les candidats à la présidence de la future région. En effet, celle-ci étant la principale à financer des instituts, elle contribue largement au montant des frais demandés aux étudiants.
Dans un article paru dans le journal Ouest-France datant du 31/10/2015, on peut y lire la promesse d’une harmonisation des frais entre les différents IFRES Normands. Selon Laurent Beauvais, président de la région Basse-Normandie : « Tout cela devrait s’harmoniser au fur et à mesure. Mais ça va prendre du temps ». S’il s’agit d’une bonne nouvelle pour les étudiants Alençonnais, la TAEEKA et la FCBN veilleront à ce que cette promesse se concrétise au-delà des mots. De plus, il faudra que cette harmonisation ait un réel impact sur le quotidien des étudiants et qu’elle fasse dans le bon sens, n’allant pas vers une augmentation des frais d’inscription dans les autres IFRES.
Pour plus d’info consulter le site de la TAEEKA ou leur twitter pour participer au débat
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1/ 3 Conférence sur la mobilité internationale dans le cadre des études
Le Mercredi 14 Octobre dernier, la FCBN présentait une conférence sur le thème de la mobilité internationale dans le cadre des études.
Celle-ci, qui se déroulait dans les locaux de la Maison de l’Etudiant, a fait intervenir Isabelle Triniac (responsable du département mobilité au carré international), Lucie et Cléofé (étudiantes en médecine, chargées du programme SCOPE) et trois étudiants ayant bénéficié ou bénéficiant d’un programme d’échange à l’international. Elle était animée par la Fédération Campus Basse-Normandie et l’association Erasmus & internationals in Caen.
Pour ceux qui n’ont pas pu être présents, pas de panique, toutes les infos pour bénéficier d’un programme d’échange à l’international sont ici, ainsi que les contacts à avoir pour toutes questions supplémentaires.
Le Carré international et SCOPE, qu’est-ce que c’est ?
→ Le Carré international est un service commun de l’université, basé dans la Maison des Langues et de l’International (MLI). Il assure l’enseignement du FLE (français langue étrangère) et des langues étrangères en cours du soir (LANSAD). C’est surtout lui qui s’occupe de tous les départs à l’étranger pour les étudiants d’UNICAEN.
→ SCOPE est un programme international qui permet aux étudiants de médecine d’aller effectuer des stages validant d’un mois dans un hôpital étranger, à condition qu’ils acceptent d’accueillir pendant un mois un étudiant en médecine d’un pays étranger.
Qui peut bénéficier d’un programme pour partir à l’étranger ?
N’importe quel étudiant, dans toutes les disciplines de l’université à condition que celui-ci soit inscrit administrativement. On part généralement pour 6 mois à un an en bénéficiant de n’importe quel programme (Erasmus +, Inter-universitaires, ISEP et BCI). On peut aussi faire des stages de 2 à 12 mois à l’étranger et ce, peu importe sa filière !
Pour partir à l’étranger, on peut partir en L3 ou en M1, pour les DUT, le DUET se fait la troisième année et pour les stages, cela peut être à tout moment de son cursus.
Attention : un niveau de langue minimum est parfois requis, notamment pour Erasmus + qui requiert un niveau B1 voire B2 selon le choix de l’université dans laquelle l’étudiant sera accueilli. Il faut donc passer un test, mais des sessions spéciales et gratuites pour s’entraîner sont mises en place.
→ Pour bénéficier du programme SCOPE, il faut être étudiant entre la 4ème ou 6ème année de médecine, c’est-à-dire quand on est externe, mais le programme est ouvert à tous les étudiants ! Il y a certaines conditions à respecter quant à la date du stage (pas pendant un stage en périphérie ou en médecine générale) et certains mois sont inaccessibles au départ du fait du nombre d’externes en présence au CHU qui doit rester équilibré.
Comment s’organiser quand on veut partir ?
C’est un processus plutôt long, qui se prépare donc au moins un an à l’avance. Entre la 3ème et la 5ème année pour les étudiants en médecine et en L2 ou L3 pour les autres étudiants.
Avant tout, il faut aller voir la composante à laquelle on se rattache car certaines composantes ont des informations sur la mobilité internationale, voire un enseignant référent dans ce domaine. Il ne faut pas hésiter à se tourner aussi vers le carré international !
La constitution du dossier est un challenge administratif mais le carré international est là tout au long de la démarche pour accompagner et surveiller l’avancement du dossier, notamment en donnant aux étudiants des dates butoirs à respecter et des étapes. Pour l’année à venir, le dossier est à rendre avant le 7 Janvier 2016, donc à mettre en place dès maintenant, au 1er semestre. Tout se fait en ligne, il faut remplir un dossier, donner une lettre de motivation et un RIB (notamment pour les aides et bourses), ainsi que ses relevés de notes.
Pour constituer son dossier, il faut choisir un pays et une université cohérente avec sa propre formation : il faut donc s’assurer que l’université propose des UE qui correspondent à son cursus. La lettre de motivation est plus pertinente lorsque l’université choisie adhère à ses propres motivations académiques et à son projet professionnel. Les enseignants lisant ces lettres, elles doivent être bien argumentées et cohérentes. Pour l’année 2015-2016, environ 500 étudiants UNICAEN sont à l’étranger, 80 à 90% des dossiers sont acceptés, la plupart des refus étant dus à une année ajournée.
→ Pour SCOPE, le dossier est à retirer auprès du SPEPSC (association des étudiants en médecine). La première étape étant de leur donner sa candidature (fiche d’inscription et lettre de motivation), puis les dossiers remontent au niveau national et international avant de redescendre progressivement. C’est ainsi pour chaque pièce du dossier si la candidature de l’étudiant est acceptée. Celui-ci fait trois vœux de pays, un seul sera retenu et toute la constitution du dossier se fait avec l’aide des deux LEO’s (Local Exchange Officers), Lucie et Cléofé pour cette année. La confirmation finale (pays, lieu de stage et date) ne se fait que deux mois avant le départ.
Où partir ? Quelles destinations ?
Avec le programme Erasmus +, chaque composante permet des destinations européennes différentes selon les partenariats. Hors Europe, les accords entre universités concernent souvent toutes les disciplines sauf quelques cas, restreints à une seule. Il faut soi-même vérifier que sa discipline est bien enseignée dans l’université souhaitée. A Caen, 23 pays hors UE sont disponibles. Unicaen est en partenariat avec 138 universités différentes au sein des Etats-Unis !
Attention aux pays dits « à risques », car les accords peuvent être suspendus d’une année à l’autre par le ministère des affaires étrangères selon l’actualité sur place.
→ SCOPE est un programme qui est présent dans plus de 120 pays, regroupant tous les continents. Certains pays sont difficiles à obtenir car très demandés, notamment les pays anglophones et scandinaves. L’Inde et le Népal sont indisponibles en ce moment, mais il reste plus d’une centaine de pays facilement accessibles : Mexique, Chine, Argentine, Soudan, Indonésie, Russie et bien d’autres !
Les questions pratiques :
Partir, ça apporte une plus-value ?
A 100%. Les étudiants reviennent plus mûrs, et ont acquis des compétences transversales utile dans la vie. Cela les coupe également de la vision franco-française qu’ils avaient au départ. Cette expérience fait avancer personnellement. Sur un CV, cela prouve une certaine autonomie et des acquis importants. La mobilité à l’étranger est la première chose regardée dans un dossier universitaire.
Faut-il des visas ?
Hors UE, l’université d’accueil aide à avoir les pré-requis et facilite les démarches, au cas où un visa est réclamé par le pays d’accueil.
Quels frais universitaires à payer ?
On paye les droits de l’université de départ, donc de l’université de Caen Normandie.
Peut-on partir à plusieurs au même endroit ?
On peut signaler que l’on est en couple, le nécessaire est alors fait s’il y a plusieurs places, mais il faut que les deux dossiers soient acceptés.
Quel est le taux de réussite ?
Les étudiants de l’université de Caen Normandie partent ont un taux de réussite lors de leur année à l’étranger d’environ 75%. Il faut faire attention à la conversion des crédits ECTS.
Existe-t-il un nombre limité de lettres de recommandation ?
Il n’y a pas besoin de lettre de recommandation, sauf pour le Canada et les États-Unis.
Peut-on valider un diplôme du pays d’accueil ?
Il faut bien séparer le diplôme français du diplôme étranger. On pioche des cours, parfois de composantes différentes, afin de valider son diplôme français. On doit réaliser un contrat d’étude, en se construisant un programme sur-mesure en fonction des besoins. Le contrat d’étude doit être validé par les universités de départ et d’arrivée. Il reste possible parfois d’obtenir aussi le diplôme de l’université d’accueil, mais il s’agit de cas exceptionnels. On doit avant tout s’engager à obtenir assez de crédit ECTS afin de valider son année en France à son retour.
Peut-on valider un double-cursus à l’étranger ?
Non. Il faut choisir l’un des deux cursus. Le contrat d’étude est déjà assez compliqué à faire comme ça, et est rarement fini lorsque la rentrée arrive.
Comment fait-on pour le logement ?
C’est à vous de contacter des structures locales similaires à celle du CROUS. Souvent, les étudiants optent pour la colocation. Cela dépend du pays dans lequel on part et de sa culture.
Est-ce pareil pour les stages ?
Pour les stages c’est plus compliqué, car il n’y a pas de partenaires. Il faut se prendre en charge, mais les aides sont supérieures (300-350€/mois en Erasmus+ stages).
Est-il possible de faire des stages 2 ans de suite ?
Oui. On peut étaler 12 mois dans le programme Erasmus+. Il est donc possible de faire 2 mois de stage en L1 puis en L2, et enfin 6 mois en Erasmus en L3, voire même partir encore un an en M1. Mais l’université de départ est rarement d’accord de ne jamais voir son étudiant chez elle, donc de ne pouvoir le suivre, et laisse la priorité aux dossiers des étudiants jamais partis.
Doit-on faire une démarche particulière pour les pays dits « à risques » ?
Pour un pays à risque ou même par simple précaution, il est conseillé de s’inscrire sur la plate-forme Ariane, pour être reconnu sur le sol à l’étranger par la représentation diplomatique française. Il peut être parfois utile d’entrer en contact avec l’ambassade de France sur place.
Pour les gens nuls en langues, comment ça se passe ?
Le département de formation en langues donne des cours. Le prix est de -50% pour les étudiants, mais cela reste payant. Il existe depuis cette année le site internet OLS, fait par la commission européenne, qui permet d’avoir accès gratuitement à des cours de langue sur ce qui est utile dans la vie de tous les jours. Il propose aussi des tests, avec l’un à passer à son départ et l’autre à son retour d’une année Erasmus, afin de voir les progrès effectués. Il est également possible de faire des stages intensifs de langue pendant les vacances (autour de 100€ pour 12h).
Il y a aussi possibilité de s’entraîner en autodidacte au Centre de ressources en langue à la MLI.
A-t-on droit à des aides financières ?
Il y a des aides greffées au programme, même pour les non-boursiers. Par exemple pour Erasmus+, il y a deux taux, qui ne dépendent pas des critères sociaux, mais du niveau de vie du pays où l’on va.
→ Pour un pays à niveau de vie élevé (Norvège, Finlande, Royaume-Uni,..) l’aide est de 210€/mois pendant 9 mois.
→ Pour un niveau de vie plus faible (Estonie, Malte,…) on reçoit 150€/mois.
En plus de cette aide, les boursiers conservent les bourses qu’ils recevaient en France. Ils reçoivent même en supplément une aide à la mobilité internationale de 400€ pour l’année.
La région Basse-Normandie donne 160€/mois aux étudiants non-boursiers, et 220€/mois aux étudiants boursiers, à condition que ce soit un programme hors-Erasmus.
Les contacts :
SCOPE :
www.ifmsa.org
http://www.spepsc.org/wordpress/etudes/scope/
leo.out.spepsc@gmail.com
Carré international :
Pour les séjours d’études à l’étranger : intl.mobilite@unicaen.fr
Pour les stages à l’étranger : intl.stages@unicaen.fr
Bureau Li 138 du bâtiment MLI – Campus 1
Et aussi sur le site de l’université :
http://international.unicaen.fr/partir-a-l-etranger/
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Mobilisation pour le budget de l’enseignement supérieur et de la recherche
Le nombre d’étudiants entrant dans l’enseignement supérieur est de plus en plus important tous les ans.
Cette année, c’est 45 000 étudiants supplémentaires qui y accèdent, ce qui représente un peu moins de 2 universités comme celle de Caen. Nous ne pouvons que nous réjouir de cette arrivée massive, montrant que le choix d’un enseignement supérieur public et accessible financièrement est un modèle qui fonctionne.Cependant, la situation n’est pas idéale pour autant. Au contraire, les choix budgétaires des différents gouvernements se succédant ont amené les universités à saturation, laissant un sous-encadrement latent dans beaucoup de filières.
Malgré que le Gouvernement avance une “priorité jeunesse”, capitalisant sur une augmentation de la qualification des jeunes pour faire avancer notre pays, la proposition de budget 2016 pour l’enseignement supérieur et la recherche est clairement en dessous des enjeux auxquels font face les Universités. Banalisation des capacités d’accueil, dégradation des conditions pédagogiques, travaux dirigés surchargés ne sont que quelques exemples de l’impact quotidien d’un système à l’asphyxie financièrement.
Face à la proposition du Gouvernement d’une augmentation de 165 M€ du budget, ne couvrant même pas la hausse des frais estimée à 250M€, une journée de mobilisation nationale a eu lieu aujoud’hui, vendredi 16 octobre, faisant écho à une manifestation à Paris. Elle réunit l’ensemble des acteurs de l’enseignement supérieur : étudiants, enseignants et personnels. (plus d’info avec cette vidéo)
La FCBN, association de représentation majoritaire au sein des conseils de l’Université et du CROUS, s’est intéressée très tôt au sujet du budget. La question “comment agir ?” s’est donc posée. Après plusieurs réunions, nous avons opté pour une lettre ouverte au Recteur, représentant local du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
A côté de celle-ci, nous allons déposer une motion en Conseil d’Administration de l’Université le même jour.
Les lettre et motion ont donc été rédigées par la Fédération et ses élus, puis relues et
corrigées par nos administrateurs, nos associations et leurs étudiants.
La lettre ouverte est la première action de notre Fédération dans le cadre de la mobilisation nationale sur le budget de la FAGE.
Si les réponses apportées à celle-ci ne nous satisfont pas, nous réfléchissons déjà à d’autres mesures de mobilisation.
La lettre ouverte :
Pour en savoir plus :
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BOUGE TON TWISTO
L’Agglo en rêvait, la fédération Campus Basse-Normandie l’a fait, c’est ainsi que titre Ouest France sur le lancement du questionnaire « Bouge ton Twisto »
« Au printemps, nous avons commencé à travailler sur la question du prix des transports en commun à Caen, explique Quentin Rollet, vice-président communication de la Fédération, en charge du dossier transports. Puis, plus largement, nous nous sommes intéressés aux problèmes rencontrés par les étudiants, qu’il s’agisse du tram, du bus ou encore du vélo en libre-service. »
Avec déjà plus de 1200 réponses en deux jours, Bouge Ton Twisto est une des solutions pour permettre à Caen la Mer, Autorité Organisatrice des Transports, de connaître les attentes des étudiants en matière de transport.
Le but de ce questionnaire est avant tout de comprendre les attentes des étudiants, afin de proposer un niveau de service et une tarification qui prennent en compte les réalités de chacun. D’autres objectifs sont associés, afin de faire évoluer l’offre pour que celle-ci corresponde au mieux aux b
esoins, que ce soit en termes d’horaires, ou encore concernant l’utilisation du service Véol.
«Vous arrive-t-il de frauder ?» Cette question apparaît, elle aussi, dans le questionnaire. Il aborde aussi le handicap, ou encore les abonnements qui pourraient être fonction de critères sociaux. Pas de tabou !
Valentin Pestel, président de la fédération, insiste : « Les plus grosses marges de manoeuvre résident dans ce budget « transports ». Le questionnaire sera clôturé fin novembre, mais dans un souci de rapidité d’action, l’outil utilisé nous permettra d’avoir rapidement des chiffres viables sur lesquels nous pourrons travailler avant cette date »
Lors de la conférence de presse du mercredi 16 septembre, plusieurs précisions ont été apportées.
“Les résultats constitueront un outil d’aide à la décision, estiment les élus de l’Agglo, Joël Bruneau et Rodolphe Thomas, en fonction des contraintes budgétaires.” Rodolphe Thomas précise qu’à partir de 2016 seront proposées « des formules adaptées à chaque étudiant, dans un esprit de tarification solidaire ».
Caen, ville la plus chère pour le transport des étudiants, vrai ou faux ?
Selon une enquête du syndicat étudiant Unef, le coût du transport à Caen est le plus élevé de France.
Le Vice-président de la communauté d’agglomération Caen-la-mer, Rodolphe Thomas, a pris sa calculette : « Avec un abonnement annuel jeune à 295,20 €, soit 24,60 € par mois, Caen se situe dans la moyenne nationale des villes de même taille. »
Articles :
http://www.ouest-france.fr/les-etudiants-et-leurs-transports-une-grande-enquete-lancee-caen-3691452
http://jactiv.ouest-france.fr/campus/caen-etudiants-enquetent-pour-ameliorer-transports-54163
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