Rentrée 2013: TOUS Normands avec la Léocarte
Rentrée 2013, tous NORMANDS avec la Léocarte !
Normandie Université met en place la Léocarte destinée aux étudiants de l’université de Caen Basse-Normandie, du Havre, de Rouen, et des deux écoles d’ingénieurs l’ENSICAEN et l’INSA de Rouen pour la rentrée 2013.
Pour l’Université de Caen, la Léocarte sera remise dans un premier temps aux étudiants inscrits pour l’année universitaire 2013-2014 puis aux personnels courant 2014.
La carte sera éditée par la Direction des études et de la vie étudiante lors de la validation de l’inscription administrative. Les cartes seront ensuite transmises dans les composantes qui les distribueront aux étudiants selon leur propre organisation.
Des services spécifiques accessibles avec la carte verront le jour au cours de l’année universitaire 2013-2014, ils seront signalés dans l’établissement et sur une page du site universitaire normand qui sera dédiée à la nouvelle carte. Ayez l’oeil !
Retrouvez le guide pratique de la Léocarte.
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Fermeture estivale des bibliothèques universitaires
Les bibliothèques de l’Université de Caen Basse-Normandie ferment selon les dates ci-dessous.
Pas d’inquiétude, avec le prêt vacances, les documents que vous empruntez en juillet sont à rendre pour le 6 septembre
Et en prime, les horaires :
- BU Droit-Lettres : 10h-17h du lundi au vendredi.
- BU Sciences-Staps : 10h-17h le lundi, et 9h-17h du mardi au vendredi.
- BU Santé : ouverture en horaires restreints pour cause de chantier interne. 29 juillet 2013 – 23 août 2013 : fermeture de la BU Santé et dès le 26 août 2013 réouverture aux horaires normaux.
Bonnes vacances à tous !
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Loi sur l’enseignement supérieur 2013 : Qu’est ce qui change pour nous ?
La loi portée par la Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a été définitivement adoptée par l’Assemblée Nationale le 9 juillet dernier.
Vous trouverez ici une présentation des grands changements apportés par ce texte qui nous concernent tous, étudiants que nous sommes.
Adrian Brun, 1er Vice-président en charge des Affaires Académiques à la FAGE tente de nous expliquer brièvement les changements autour de 6 thèmes principaux (3 seulement seront développés ici) :
L’organisation de l’enseignement supérieur et de la recherche :
- Cotutelle. Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche (MESR) assure, conjointement avec les autres ministères concernés, la tutelle des établissements d’enseignement supérieur ne relevant pas de son département.
- Evaluation.L’Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (AERES) est supprimée et remplacée par un Haut conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur, qui a le statut d’autorité administrative indépendante. Que ce soit pour l’évaluation des établissements, des unités de recherche ou des formations, ce Haut conseil « évalue ou s’assure de la qualité des évaluations conduites par d’autres instances ».
- Nouvelle mission de transfert. L’enseignement supérieur écope d’une nouvelle mission : celle d’assurer le transfert des résultats de la recherche au service de la société. D’ores et déjà, la loi prévoit que les inventions issues de la recherche publique soient valorisées.
- Rôle des régions. La loi transfère aux régions la mission de développer et diffuser la culture scientifique, technique et industrielle, notamment auprès des jeunes publics, et les crédits allant avec. Elles sont enfin systématiquement associées à la préparation des contrats pluriannuels de l’université.
La formation et le troisième cycle :
- Cours en langue étrangère. La loi élargit les exceptions à la loi Toubon, selon laquelle le français est la langue du service public d’enseignement supérieur. En contrepartie, les formations en langue étrangère dispensées par les universités et écoles supérieures ne peuvent l’être que « partiellement » ; les étudiants reçoivent des cours de Français Langue Etrangère ; et leur niveau en français est pris en compte dans l’obtention du diplôme.
- Quotas de bacheliers techno et pro. Un quota minimal de bacheliers professionnels et technologiques ira respectivement en STS et IUT. Ces pourcentages seront arrêtés par le recteur, sous certaines conditions.
- Études de santé. La loi ouvre le droit à l’expérimentation dans l’accès aux études de santé, pour une période de six ans : la première expérimentation consiste à organiser des épreuves en début de Paces et à réorienter les étudiants en échec (15 % des effectifs au maximum). La deuxième ouvre l’admission en 2e ou 3e année à des étudiants ayant obtenu une licence adaptée. La troisième consiste en une première année commune aux formations paramédicales, à l’exception de la formation infirmière.
- Généralisation. La loi réaccentue d’une part le principe de la« continuité » des enseignements du supérieur par rapport à ceux du lycée, et d’autre part celui de «spécialisation progressive des études » dans le supérieur, ce qui devrait conduire à des licences plus généralistes.
- Accréditation. Pour délivrer les diplômes nationaux (licence, master, certificat, doctorat), les établissements ne sont plus « habilités » diplôme par diplôme, mais accrédités pour la durée du contrat pluriannuel avec l’État. Ils devront respecter un «cadre national des formations ».
- Stages. La loi instaure une définition légale des stages, qui doivent s’effectuer « en cohérence avec la formation suivie par l’étudiant ». Il est interdit d’utiliser des stagiaires sur des postes permanents. L’obligation de gratification est étendue aux fonctions publiques et aux associations.
- Numérique. Les logiciels libres de droit sont utilisés « en priorité ». Par ailleurs, les établissements doivent rendre le plus disponible possible leurs enseignements sous forme numérique.
- Étudiants étrangers. La durée provisoire de séjour pour les étudiants étrangers titulaires d’un master passe de 6 à 12 mois.
- CPGE et « droits d’accès ». La double inscription des élèves de CPGE à l’université est rendue obligatoire, ce qui les oblige à acquitter les droits d’inscription. Les CPGE doivent obligatoirement conventionner avec un EPCSCP (établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel) de leur choix dans leur académie. Est instauré en outre un « droit d’accès » pour les meilleurs élèves de chaque filière dans les formations sélectives de l’enseignement supérieur public.
- Valorisation du doctorat. La loi prévoit l’obligation d’adapter les concours de la fonction publique de catégorie A aux docteurs. La possibilité de faire valoir trois ans d’expérience professionnelle pour se présenter au 3e concours d’accès à l’ENA, ou au concours interne pour ceux qui ont bénéficié d’un contrat doctoral est également donnée aux doctorants.
La gouvernance des établissements :
- Le rôle du président de l’Université se voit modifié, ainsi que les fonctions du conseil d’administration et du conseil académique de l’Université. Il est demandé de créer un conseil des directeurs de composantes qui tendrait à réunir par exemple le doyen de la faculté de médecine, de lettres, de pharmacie, de psychologie, de sciences …
- Création d’un comité consultatif pour l’enseignement supérieur privé. Un comité consultatif pour l’enseignement supérieur privé est créé, placé auprès du ministre chargé de l’Enseignement supérieur. Il « examine les formations dispensées et leur degré de participation à une mission de service public », «formule des propositions quant à l’appui financier de l’État » (…) et donne son avis pour l’octroi de la qualification d’établissement privé d’intérêt général. Sa composition sera fixée par décret.
Le conseil académique
Regroupement du CS et du Cevu. L’article 49 crée le Cac (conseil académique) qui « regroupe les membres de la commission de la recherche [ancien CS] et de la commission de la formation et de la vie universitaire [ancien Cevu] ». La composition des deux commissions n’est pas modifiée par rapport à celles du CS et du Cevu, si ce n’est que la commission de la formation doit, parmi ses personnalités extérieures, avoir « au moins un représentant d’un établissement d’enseignement secondaire ». De plus, « le directeur du Crous ou son représentant assiste aux séances de la commission de la formation et de la vie universitaire ».
Le statut des personnels
Les regroupements d’établissements
Chronologie et dispositions particulières relatives aux territoires ultra-marins
Il convient de féliciter tous ceux qui ont œuvré à la mise en place de ces directives. Certaines ne correspondent pas encore tout à fait aux attentes du public étudiant mais elles feront l’objet de nouvelles revendications.
Pour toute question supplémentaire, n’hésitez pas à nous écrire : contact@campusbn.org ou adrian.brun@fage.org
Mobilisés pour l’obtention du Grade Master 2 !
Aujourd’hui entre 12h30 et 13h30 les étudiants en orthophonie de Caen, menés par ETOC leur association représentative adhérente à la FCBN, manifestent devant la préfecture pour faire entendre leur voix afin d’obtenir rapidement la reconnaissance Master 2 pour leurs études.
Harmony CSOPAKI ancienne Présidente d’ETOC et actuellement chargée de communication nous explique les raisons de cette mobilisation
“Depuis plusieurs années, la profession d’orthophonie se mobilise afin de faire reconnaître l’importance de ses études. Après un concours et 4 ans d’études, le diplôme n’est seulement reconnu que bac+2.
Aujourd’hui, étudiants et professionnels se mobilisent pour une meilleure reconnaissance de leur champ de compétence pourtant si vaste. Un orthophoniste est amené a prendre en charge et à rééduquer des troubles du langage qu’ils soient isolés (retard de parole, langage, troubles dys) ou qu’ils fassent suite à une atteinte neurologique (avc, tumeur, épilepsie), sensorielle (surdité), psychopathologique (autisme,TED, THADA), ou à un syndrome génétique. L’orthophoniste prend également en charge les troubles de la déglutition, de la voix et de la mémoire.
Ainsi, les professionnels, étudiants et l’UNADREO (Union Nationale pour le Développement de la Recherche et de l’Évaluation en Orthophonie) ont travaillé conjointement avec le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche pour établir une maquette d’études basée sur cinq ans, afin d’entrer dans le système LMD.
Aujourd’hui cette revendication du master 2 s’accompagne du souhait d’améliorer qualitativement la prise en charge des patients car bon nombre d’étudiants ne se sentent pas capables de rééduquer certaines pathologies a la fin de leur cursus actuel.
Jeudi 17 janvier, les professionnels et étudiants en orthophonie de Basse-Normandie se mobiliseront devant la préfecture de Caen de 12h30 à 13h30 afin de porter une nouvelle fois leurs revendications devant toute la classe politique.“
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La Fédération Campus Basse Normandie assiste à la Signature d’une Convention de Plan de Mobilité
Le 24 octobre dernier, des élus de la Fédération Campus Basse Normandie au Conseil des Études et de la Vie Universitaire et au Conseil d’Administration, étaient présents à l’Institut d’Administration des Entreprises de Caen pour assister à la signature d’une Convention de Plan de Mobilité entre l’Université de Caen Basse Normandie, l’IAE et le syndicat des transports Viacités.
Étaient présents à cette signature :
– M. Fabrice LEVIGOUREUX, directeur de l’IAE de Caen
– M. Pierre SINEUX, président de l’UCBN
– M. Eric Vève, président de Viacité
– Mme Michèle JEANNE, directrice de la communication de l’UCBN
– Myriam BOURE, coordinatrice du projet
– Étudiants et personnels de l’IAE porteurs du projet
Objectifs généraux : mobilité durable
– 25% des ménages sans voiture dans la ville de Caen
– 20% des ménages sans voiture hors de la ville
– Utilisation plus importante des transports en commun
– Développement du covoiturage
– Utilisation du vélo électrique
Le transport pour les ménages :
Pour un ménage, le budget transport est le deuxième poste de dépense après le loyer et avant la nourriture. Il représente 15% du budget et on « prévisionne » cette part à 20% avec l’augmentation des carburants.
Grâce au coût de la rentrée publié par la Fédération Campus Basse Normandie en septembre nous sommes en mesure de vous communiquer les chiffres pour les étudiants puisque dans le discours, on a très peu fait mention d’eux : le transport représente 14,5% du budget de l’étudiant en comptant les trajets pour rentrer chez eux des étudiants non caennais
Plans de mobilité :
Les premiers plans de mobilité ont vu le jour en 2008. Depuis 47 ont été signés et l’IAE est le 48ème. Le prochain plan avec une espérance de signature rapide est avec le C.H.U de Caen.
La signature d’un plan de mobilité accroit les avantages pour les personnels qui ont des réductions sur les transports (Twisto, Bus Verts, SNCF) et les incite à les emprunter plus massivement.
L’IAE de Caen et le Plan de Mobilité :
L’IAE travaille sur ce plan de mobilité depuis 2010, elle a fait réaliser un bilan Campus Carbone et les résultats montrent que la première source de Gaz à Effet de Serre vient des voitures se garant sur le parking. De plus la perte de temps à trouver un emplacement à se garer accroit ce phénomène.
Objectifs de l’IAE :
Ces objectifs ont été qualifiés d’ambitieux par Éric Vève.
Utilisation du tramway | Aujourd’hui | 2014 | 2016 |
Personnels | 10% | 16% | 20% |
Étudiants | 24% | 30% |
=> Accentuation sur le développement des trajets en vélo, en vélo électrique et principalement du covoiturage avec à terme pourquoi pas la création d’un parking réservé aux personnes recourant à cette pratique écologique et citoyenne.
Bilan du Tramway Caennais :
À ce jour la moitié des rames ne fonctionnent pas, le remplacement du tramway actuel sur pneu est prévu pour 2018 avec un passage à un tramway sur rail.
Une deuxième ligne sera mise en place dans la foulée dans un souci d’économie, les travaux commenceront mi-2016 ou fin 2016. Pendant les deux ans des travaux le tramway sera suppléé par des lignes de bus plus nombreuses.
Les rames seront plus longues pour un meilleur confort des usagers et pour une meilleure gestion des flux de passagers
La réaction de la Fédération Campus Basse Normandie à la signature de cette convention :
– maintenant quelles pistes pour les étudiants ?
– le poste de dépense transport d’un étudiant est non négligeable que peut-on faire pour le réduire également ?
– création de groupe de travail pour améliorer le covoiturage
– création de listes de diffusion pour un regroupement des données de transport des étudiants
– les étudiants ne doivent pas être laissés de côté, ils sont les futurs acteurs du développement citoyen et écologique de demain
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