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Cette année, la FAGE (Fédération des Associations Générales Étudiantes) organise pour la première fois un prix national de la création littéraire.
Celui-ci sera porté à Caen par l’AELMC (Association des Étudiants en Lettres Modernes de Caen).Le concours est divisé en trois catégories : Slam/Poésie, Nouvelle et Essai, et le thème choisi est « Faire Société ».
Pour participer, il suffit d’être un étudiant inscrit dans un établissement d’enseignement supérieur à l’Université de Caen Normandie.
Les œuvres doivent être originales, non publiées, individuelles et comporter un titre. Elles doivent aussi être écrites en français, dactylographiées et comporter le nombre de mots.
Un maximum de 1 000 mots pour la catégorie « Slam/Poésie », 2 500 mots pour la catégorie « Nouvelle » et 3 000 mots pour la catégorie « Essai » est imposé.
Les créations doivent être rendues avant le 29 février, et remises en 5 exemplaires, avec le formulaire d’inscription et l’autorisation d’exploitation (que vous trouverez en bas de la page) au bureau LE 214, Bâtiment B de l’Université de Caen ou par courrier à l’adresse suivante, le cachet de poste faisant foi :
Association des étudiants en lettres modernes de Caen, Bâtiment B
Université de Caen
Esplanade de la Paix 14032 Caen Cedex 5
Un jury, composé d’un étudiant, d’un enseignant et d’un libraire, décidera du classement, et la remise des prix aura lieu la deuxième semaine d’Avril.
Les 3 premiers de chaque catégorie seront publiés dans un ouvrage. Plein d’autres cadeaux sont prévus ! 🙂
En parallèle, un concours national est organisé par la FAGE, auquel participeront les premiers de chaque catégorie.
Formulaire d’inscription : http://www.campusbn.org/wp-content/uploads/2016/01/Formulaire-dinscription.pdf
Autorisation d’exploitation : http://www.campusbn.org/wp-content/uploads/2016/01/Autorisation-dexploitation-et-dutilisation.pdf
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BUDGET DU CROUS – 2016
Ce matin, en CA du
CROUS Caen, c’était le vote du budget.Malgré tout, le budget est quand même passé avec 12 voix pour, 11 voix contre et 3 Abstentions. Mais ce n’est pas fini, nous allons continuer d’interpeller l’opinion publique et continuer de nous battre pour que les étudiants et les personnels n’aient pas constamment à subir les désengagements de l’État dans le budget de l’Enseignement Supérieur.Retrouvez ci-dessous la motion déposée :
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Les écoles de masseurs-kinésithérapeutes, quel avenir dans la nouvelle région Normandie ?
Alors que se profile à l’horizon 2016 la fusion de la Haute et Basse Normandie, les étudiants en kinésithérapie de l’Institut de Formation Régional en Santé (IFRES) d’Alençon profitent de cette opportunité pour faire entendre leur voix et attirer l’attention sur leurs conditions d’études.
Leurs frais d’inscriptions sont en effet les plus élevés de Normandie, s’élevant à hauteur de 5800€ par an. De plus, la récente mise en application de la réforme du diplôme d’Etat de masseur-kinésithérapeute présente certes des avancées pour la formation, mais elle fait passer le nombre d’année d’études de 3 à 4 ans. Elle multiplie donc d’autant le coût. En comparaison, les étudiants Haut-Normands payent des frais allant de 200€ (Rouen) à 4500€ (Evreux) par an. Cette situation n’est plus tenable pour bon nombre d’étudiants, obligés de s’endetter de manière importante afin de financer leurs études !
La Table Amicale des Étudiants Kinés et Ergos d’Alençon (TAEEKA), association membre de la Fédération Campus Basse Normandie (FCBN) et qui représente les étudiants de l’IFRES d’Alençon, a ainsi décidé d’interpeller les candidats à la présidence de la future région. En effet, celle-ci étant la principale à financer des instituts, elle contribue largement au montant des frais demandés aux étudiants.
Dans un article paru dans le journal Ouest-France datant du 31/10/2015, on peut y lire la promesse d’une harmonisation des frais entre les différents IFRES Normands. Selon Laurent Beauvais, président de la région Basse-Normandie : « Tout cela devrait s’harmoniser au fur et à mesure. Mais ça va prendre du temps ». S’il s’agit d’une bonne nouvelle pour les étudiants Alençonnais, la TAEEKA et la FCBN veilleront à ce que cette promesse se concrétise au-delà des mots. De plus, il faudra que cette harmonisation ait un réel impact sur le quotidien des étudiants et qu’elle fasse dans le bon sens, n’allant pas vers une augmentation des frais d’inscription dans les autres IFRES.
Pour plus d’info consulter le site de la TAEEKA ou leur twitter pour participer au débat
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1/ 3 Conférence sur la mobilité internationale dans le cadre des études
Le Mercredi 14 Octobre dernier, la FCBN présentait une conférence sur le thème de la mobilité internationale dans le cadre des études.
Celle-ci, qui se déroulait dans les locaux de la Maison de l’Etudiant, a fait intervenir Isabelle Triniac (responsable du département mobilité au carré international), Lucie et Cléofé (étudiantes en médecine, chargées du programme SCOPE) et trois étudiants ayant bénéficié ou bénéficiant d’un programme d’échange à l’international. Elle était animée par la Fédération Campus Basse-Normandie et l’association Erasmus & internationals in Caen.
Pour ceux qui n’ont pas pu être présents, pas de panique, toutes les infos pour bénéficier d’un programme d’échange à l’international sont ici, ainsi que les contacts à avoir pour toutes questions supplémentaires.
Le Carré international et SCOPE, qu’est-ce que c’est ?
→ Le Carré international est un service commun de l’université, basé dans la Maison des Langues et de l’International (MLI). Il assure l’enseignement du FLE (français langue étrangère) et des langues étrangères en cours du soir (LANSAD). C’est surtout lui qui s’occupe de tous les départs à l’étranger pour les étudiants d’UNICAEN.
→ SCOPE est un programme international qui permet aux étudiants de médecine d’aller effectuer des stages validant d’un mois dans un hôpital étranger, à condition qu’ils acceptent d’accueillir pendant un mois un étudiant en médecine d’un pays étranger.
Qui peut bénéficier d’un programme pour partir à l’étranger ?
N’importe quel étudiant, dans toutes les disciplines de l’université à condition que celui-ci soit inscrit administrativement. On part généralement pour 6 mois à un an en bénéficiant de n’importe quel programme (Erasmus +, Inter-universitaires, ISEP et BCI). On peut aussi faire des stages de 2 à 12 mois à l’étranger et ce, peu importe sa filière !
Pour partir à l’étranger, on peut partir en L3 ou en M1, pour les DUT, le DUET se fait la troisième année et pour les stages, cela peut être à tout moment de son cursus.
Attention : un niveau de langue minimum est parfois requis, notamment pour Erasmus + qui requiert un niveau B1 voire B2 selon le choix de l’université dans laquelle l’étudiant sera accueilli. Il faut donc passer un test, mais des sessions spéciales et gratuites pour s’entraîner sont mises en place.
→ Pour bénéficier du programme SCOPE, il faut être étudiant entre la 4ème ou 6ème année de médecine, c’est-à-dire quand on est externe, mais le programme est ouvert à tous les étudiants ! Il y a certaines conditions à respecter quant à la date du stage (pas pendant un stage en périphérie ou en médecine générale) et certains mois sont inaccessibles au départ du fait du nombre d’externes en présence au CHU qui doit rester équilibré.
Comment s’organiser quand on veut partir ?
C’est un processus plutôt long, qui se prépare donc au moins un an à l’avance. Entre la 3ème et la 5ème année pour les étudiants en médecine et en L2 ou L3 pour les autres étudiants.
Avant tout, il faut aller voir la composante à laquelle on se rattache car certaines composantes ont des informations sur la mobilité internationale, voire un enseignant référent dans ce domaine. Il ne faut pas hésiter à se tourner aussi vers le carré international !
La constitution du dossier est un challenge administratif mais le carré international est là tout au long de la démarche pour accompagner et surveiller l’avancement du dossier, notamment en donnant aux étudiants des dates butoirs à respecter et des étapes. Pour l’année à venir, le dossier est à rendre avant le 7 Janvier 2016, donc à mettre en place dès maintenant, au 1er semestre. Tout se fait en ligne, il faut remplir un dossier, donner une lettre de motivation et un RIB (notamment pour les aides et bourses), ainsi que ses relevés de notes.
Pour constituer son dossier, il faut choisir un pays et une université cohérente avec sa propre formation : il faut donc s’assurer que l’université propose des UE qui correspondent à son cursus. La lettre de motivation est plus pertinente lorsque l’université choisie adhère à ses propres motivations académiques et à son projet professionnel. Les enseignants lisant ces lettres, elles doivent être bien argumentées et cohérentes. Pour l’année 2015-2016, environ 500 étudiants UNICAEN sont à l’étranger, 80 à 90% des dossiers sont acceptés, la plupart des refus étant dus à une année ajournée.
→ Pour SCOPE, le dossier est à retirer auprès du SPEPSC (association des étudiants en médecine). La première étape étant de leur donner sa candidature (fiche d’inscription et lettre de motivation), puis les dossiers remontent au niveau national et international avant de redescendre progressivement. C’est ainsi pour chaque pièce du dossier si la candidature de l’étudiant est acceptée. Celui-ci fait trois vœux de pays, un seul sera retenu et toute la constitution du dossier se fait avec l’aide des deux LEO’s (Local Exchange Officers), Lucie et Cléofé pour cette année. La confirmation finale (pays, lieu de stage et date) ne se fait que deux mois avant le départ.
Où partir ? Quelles destinations ?
Avec le programme Erasmus +, chaque composante permet des destinations européennes différentes selon les partenariats. Hors Europe, les accords entre universités concernent souvent toutes les disciplines sauf quelques cas, restreints à une seule. Il faut soi-même vérifier que sa discipline est bien enseignée dans l’université souhaitée. A Caen, 23 pays hors UE sont disponibles. Unicaen est en partenariat avec 138 universités différentes au sein des Etats-Unis !
Attention aux pays dits « à risques », car les accords peuvent être suspendus d’une année à l’autre par le ministère des affaires étrangères selon l’actualité sur place.
→ SCOPE est un programme qui est présent dans plus de 120 pays, regroupant tous les continents. Certains pays sont difficiles à obtenir car très demandés, notamment les pays anglophones et scandinaves. L’Inde et le Népal sont indisponibles en ce moment, mais il reste plus d’une centaine de pays facilement accessibles : Mexique, Chine, Argentine, Soudan, Indonésie, Russie et bien d’autres !
Les questions pratiques :
Partir, ça apporte une plus-value ?
A 100%. Les étudiants reviennent plus mûrs, et ont acquis des compétences transversales utile dans la vie. Cela les coupe également de la vision franco-française qu’ils avaient au départ. Cette expérience fait avancer personnellement. Sur un CV, cela prouve une certaine autonomie et des acquis importants. La mobilité à l’étranger est la première chose regardée dans un dossier universitaire.
Faut-il des visas ?
Hors UE, l’université d’accueil aide à avoir les pré-requis et facilite les démarches, au cas où un visa est réclamé par le pays d’accueil.
Quels frais universitaires à payer ?
On paye les droits de l’université de départ, donc de l’université de Caen Normandie.
Peut-on partir à plusieurs au même endroit ?
On peut signaler que l’on est en couple, le nécessaire est alors fait s’il y a plusieurs places, mais il faut que les deux dossiers soient acceptés.
Quel est le taux de réussite ?
Les étudiants de l’université de Caen Normandie partent ont un taux de réussite lors de leur année à l’étranger d’environ 75%. Il faut faire attention à la conversion des crédits ECTS.
Existe-t-il un nombre limité de lettres de recommandation ?
Il n’y a pas besoin de lettre de recommandation, sauf pour le Canada et les États-Unis.
Peut-on valider un diplôme du pays d’accueil ?
Il faut bien séparer le diplôme français du diplôme étranger. On pioche des cours, parfois de composantes différentes, afin de valider son diplôme français. On doit réaliser un contrat d’étude, en se construisant un programme sur-mesure en fonction des besoins. Le contrat d’étude doit être validé par les universités de départ et d’arrivée. Il reste possible parfois d’obtenir aussi le diplôme de l’université d’accueil, mais il s’agit de cas exceptionnels. On doit avant tout s’engager à obtenir assez de crédit ECTS afin de valider son année en France à son retour.
Peut-on valider un double-cursus à l’étranger ?
Non. Il faut choisir l’un des deux cursus. Le contrat d’étude est déjà assez compliqué à faire comme ça, et est rarement fini lorsque la rentrée arrive.
Comment fait-on pour le logement ?
C’est à vous de contacter des structures locales similaires à celle du CROUS. Souvent, les étudiants optent pour la colocation. Cela dépend du pays dans lequel on part et de sa culture.
Est-ce pareil pour les stages ?
Pour les stages c’est plus compliqué, car il n’y a pas de partenaires. Il faut se prendre en charge, mais les aides sont supérieures (300-350€/mois en Erasmus+ stages).
Est-il possible de faire des stages 2 ans de suite ?
Oui. On peut étaler 12 mois dans le programme Erasmus+. Il est donc possible de faire 2 mois de stage en L1 puis en L2, et enfin 6 mois en Erasmus en L3, voire même partir encore un an en M1. Mais l’université de départ est rarement d’accord de ne jamais voir son étudiant chez elle, donc de ne pouvoir le suivre, et laisse la priorité aux dossiers des étudiants jamais partis.
Doit-on faire une démarche particulière pour les pays dits « à risques » ?
Pour un pays à risque ou même par simple précaution, il est conseillé de s’inscrire sur la plate-forme Ariane, pour être reconnu sur le sol à l’étranger par la représentation diplomatique française. Il peut être parfois utile d’entrer en contact avec l’ambassade de France sur place.
Pour les gens nuls en langues, comment ça se passe ?
Le département de formation en langues donne des cours. Le prix est de -50% pour les étudiants, mais cela reste payant. Il existe depuis cette année le site internet OLS, fait par la commission européenne, qui permet d’avoir accès gratuitement à des cours de langue sur ce qui est utile dans la vie de tous les jours. Il propose aussi des tests, avec l’un à passer à son départ et l’autre à son retour d’une année Erasmus, afin de voir les progrès effectués. Il est également possible de faire des stages intensifs de langue pendant les vacances (autour de 100€ pour 12h).
Il y a aussi possibilité de s’entraîner en autodidacte au Centre de ressources en langue à la MLI.
A-t-on droit à des aides financières ?
Il y a des aides greffées au programme, même pour les non-boursiers. Par exemple pour Erasmus+, il y a deux taux, qui ne dépendent pas des critères sociaux, mais du niveau de vie du pays où l’on va.
→ Pour un pays à niveau de vie élevé (Norvège, Finlande, Royaume-Uni,..) l’aide est de 210€/mois pendant 9 mois.
→ Pour un niveau de vie plus faible (Estonie, Malte,…) on reçoit 150€/mois.
En plus de cette aide, les boursiers conservent les bourses qu’ils recevaient en France. Ils reçoivent même en supplément une aide à la mobilité internationale de 400€ pour l’année.
La région Basse-Normandie donne 160€/mois aux étudiants non-boursiers, et 220€/mois aux étudiants boursiers, à condition que ce soit un programme hors-Erasmus.
Les contacts :
SCOPE :
www.ifmsa.org
http://www.spepsc.org/wordpress/etudes/scope/
leo.out.spepsc@gmail.com
Carré international :
Pour les séjours d’études à l’étranger : intl.mobilite@unicaen.fr
Pour les stages à l’étranger : intl.stages@unicaen.fr
Bureau Li 138 du bâtiment MLI – Campus 1
Et aussi sur le site de l’université :
http://international.unicaen.fr/partir-a-l-etranger/
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